Bmw série 1 f20 modèle à éviter : les erreurs à ne pas faire

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BMW Série 1 F20 modèle à éviter, c’est souvent un avertissement que l’on entend quand on parle de cette génération entre 2011 et 2015, en particulier avec les moteurs N13 essence et N47 diesel. Ces versions peuvent rapidement coûter cher, entre chaînes de distribution fragiles, consommation d’huile excessive et turbos capricieux. J’ai vu pas mal de cas où une F20 mal choisie se transformait en une vraie source de stress mécanique. Pourtant, à partir de 2015, BMW a sérieusement corrigé le tir avec des moteurs plus robustes comme les B38 et B48. Si vous creusez un peu, vous éviterez les galères et profiterez pleinement de la dynamique unique que cette Série 1 sait offrir. Alors, prêt à décoder les pièges à éviter ?

Les moteurs à éviter sur la BMW Série 1 F20

Le moteur essence N13 avant 2015

Le moteur N13, monté sur les BMW Série 1 F20 avant 2015, est devenu tristement célèbre auprès des amateurs et des mécanos. Sous son allure prometteuse, ce petit turbo 1.6L cache plusieurs faiblesses qui peuvent rapidement grever votre budget. Imaginez une chaîne de distribution qui s’allonge prématurément, avec des guides en plastique cassants : un vrai cauchemar mécanique. Ce défaut provoque souvent des bruits suspects au démarrage, comme un tic-tac inquiétant, annonciateur de problèmes plus graves.

À cela s’ajoute une consommation d’huile excessive, qui peut atteindre jusqu’à 1 litre tous les 1000 km. C’est comme si votre moteur avait soif en permanence. Ce phénomène est souvent causé par des joints de queue de soupape ou des segments usés. Et il ne s’arrête pas là : le turbo n’est pas épargné. Les tuyaux d’admission peuvent se fissurer, entraînant une perte de puissance et des ratés qui ne vous laissent jamais tranquilles. Sans compter l’encrassement de l’admission, typique de l’injection directe, qui rend le moteur paresseux, surtout en ville. En clair, ce moteur est à considérer avec prudence si vous cherchez une Series 1 fiable. Pour en savoir plus sur les moteurs à éviter équipés de turbo et leurs problèmes, consultez ce guide dédié.

Les motorisations diesel N47 et leurs problèmes

Du côté diesel, le N47 est un moteur qui a laissé plus d’un propriétaire sur le carreau, notamment sur les versions 116d, 118d et 120d produites avant 2015. La faiblesse principale ? Sa chaîne de distribution située côté boîte de vitesses, ce qui complique considérablement les réparations. Imaginez devoir démonter quasiment toute la transmission pour accéder à un élément qui devrait être simple à entretenir. Résultat : en cas de casse, la note grimpe vite, souvent au-dessus de 4 000 euros.

Mais ce n’est pas tout. Ce moteur souffre aussi parfois de problèmes liés à la vanne EGR et au turbo, qui perdent en efficacité avec le temps. Des fuites d’injecteurs ont été rapportées, provoquant des démarrages difficiles et une consommation hors norme. C’est un piège classique qui guette les acheteurs peu vigilants. En revanche, à partir de 2015, BMW a largement amélioré la fiabilité du N47, rendant ces soucis bien plus rares. À retenir : privilégiez toujours les modèles diesel postérieurs à cette date pour éviter les mauvaises surprises. Pour approfondir, consultez l’analyse de moteurs diesel à problème, qui détaille ces défaillances.

Les modèles BMW Série 1 F20 à éviter avant et après restylage

Modèles essence 114i, 116i, 118i, 120i et 125i avant restylage

Parmi les BMW Série 1 F20, les versions essence équipées des moteurs N13 et N20, c’est-à-dire les 114i, 116i, 118i, 120i et 125i produites avant 2015, figurent en tête des modèles à éviter. Ces blocs ont souvent été qualifiés de “grenades mécaniques” par plusieurs passionnés et mécaniques. Imaginez acheter une voiture qui peut soudainement vous réclamer une grosse facture à cause d’une chaîne de distribution qui se détend ou, pire, casse. C’est typiquement le scénario vécu par certains propriétaires. En plus, ces moteurs souffrent d’une consommation d’huile excessive pouvant atteindre jusqu’à 1 litre tous les 1000 km, notamment à cause de joints usés ou de segments fatigués.

Ajoutez à cela des problèmes récurrents de turbo — des conduits d’admission fragiles qui finissent par se fissurer, causant des pertes de puissance et des ratés — et vous comprendrez qu’il ne s’agit pas là d’une anecdote isolée. Ces défauts mécaniques sont amplifiés par l’injection directe qui favorise l’encrassement de l’admission, surtout si la voiture est beaucoup utilisée en milieu urbain, où le moteur peine à “respirer” correctement.

Pour mieux visualiser, voici un tableau synthétique des soucis courants :

ModèleMoteurAnnées à éviterPrincipaux problèmes
114i, 116i, 118iN13 Essence 1.6L turbo2011 – 2015Chaîne de distribution fragile, consommation d’huile excessive, turbo défaillant
120i, 125iN20 Essence 2.0L turbo2011 – 2015Fuites d’huile, surconsommation, problèmes turbo

En résumé, ces modèles peuvent paraître séduisants sur le papier avec leur puissance et leur prix attractif, mais leur fiabilité laisse fortement à désirer. Si vous cherchez une Série 1 essence, mieux vaut attendre les versions restylées équipées des moteurs B38 ou B48, bien plus robustes et apaisants pour votre portefeuille.

Modèles diesel 114d, 116d, 118d, 120d avant restylage

Le moteur diesel N47, monté sur les versions 114d, 116d, 118d et 120d avant 2015, n’est pas en reste côté fiabilité. L’une de ses failles majeures concerne la chaîne de distribution, un élément fragile qui, en cas de casse, nécessite une réparation très coûteuse et complexe. Un mécanicien expérimenté m’a raconté qu’il faut parfois déposer tout le moteur pour accéder à cette chaîne, ce qui explique des devis parfois supérieurs à 4 000 euros !

Ces moteurs diesel souffrent également de soucis annexes comme des fuites suite à l’usure des injecteurs ou des problèmes de vanne EGR. Les risques sont plus élevés si l’entretien n’a pas été rigoureux ou si le véhicule a beaucoup circulé en ville, avec nombre de démarrages et arrêts fréquents qui sollicitent énormément la mécanique.

Voici un aperçu des points faibles les plus rencontrés :

  • Chaîne de distribution coûteuse à remplacer : située côté boîte, ce qui complique grandement l’accès.
  • Usure prématurée du volant bimasse : occasionnant vibrations et bruits désagréables.
  • Problèmes d’injecteurs et de vanne EGR : pouvant causer des ratés et une perte de puissance.

En dépit de ces failles, BMW a travaillé à fiabiliser ce moteur à partir de 2015, éliminant la plupart des tracas sur les modèles plus récents. À moins de bénéficier d’un historique d’entretien parfait, il vaut mieux éviter d’investir dans une Série 1 diesel avant cette date. Cela vous épargnera de nombreuses mésaventures mécaniques et un stress financier souvent disproportionné.

Symptômes et signes de défaillance à surveiller en occasion

Lorsque l’on envisage d’acheter une BMW Série 1 F20 d’occasion, reconnaître les signes avant-coureurs d’une mécanique fatiguée est crucial. Imaginez-vous au volant, au moment où un cliquetis sourd vous parvient du moteur au démarrage : ce bruit inquiétant est souvent l’annonciateur d’une chaîne de distribution qui s’étire ou de guides fragilisés. Ne négligez pas ces premiers avertissements, car ils peuvent précéder une panne coûteuse.

Un autre indicateur souvent négligé est la fumée bleue à l’échappement. Elle révèle fréquemment des joints de queue de soupape usés, une défaillance qui, si elle n’est pas traitée, compromettra la combustion et l’intégrité du moteur. En roulant en ville, certains moteurs à injection directe tendent à s’encrasser; cela se traduit par une perte de puissance progressive et des ratés à l’accélération.

Les fuites d’huile visibles sont un autre signal d’alerte. Par exemple, une fuite au niveau du cache-culbuteur, fréquente sur certains blocs, peut passer inaperçue si vous ne jetez pas un œil sous le capot. Comme une petite goutte peut rapidement devenir une flaque, ce type de problème impose une vigilance régulière. Enfin, surveillez la consommation d’huile : une hausse marquée, telle que plus d’un litre tous les 1000 km, n’est pas anodine et mérite une investigation approfondie.

En résumé, une inspection attentive avant l’achat peut éviter de transformer votre rêve de voiture premium en cauchemar mécanique. Un double contrôle, notamment en démarrant la voiture à froid et en évaluant les bruits et fumées, vous permettra de partir serein. N’oubliez pas, mieux vaut prévenir que guérir, surtout quand il s’agit de mécanique allemande à la fois sophistiquée et exigeante.

Modèles à privilégier dans la gamme BMW Série 1 F20

Versions essence après restylage (moteurs B38 et B48)

Après 2015, la BMW Série 1 F20 a connu une véritable évolution sous le capot avec l’arrivée des moteurs B38 et B48. Ces blocs essence modernisés ont su convaincre par leur robustesse et leur fiabilité, un vrai souffle d’air frais comparé aux débuts parfois chaotiques. Si vous rêvez d’une compacte alliant performances et sérénité, les versions équipées de ces moteurs sont désormais un choix sûr. Le moteur B38, à trois cylindres, surprend par sa douceur surprenante et sa consommation mesurée, idéale pour une utilisation citadine et routière.

Quant au B48, moteur quatre cylindres plus typé sport, il séduit par sa puissance maîtrisée et sa solidité. Ces moteurs affichent moins de problèmes mécaniques classiques comme les chaînes trop fragiles ou une consommation abusive d’huile. À cela, s’ajoute un entretien simplifié et moins coûteux, ce qui n’est pas un luxe quand on parle de véhicules premium. Ainsi, opter pour une Série 1 post-restylage, c’est investir dans une expérience plus sereine, loin des tracas des modèles plus anciens.

Modèles sportifs : M135i phase 1 (N55) et phase 2 (B58)

Les passionnés de sensations ne peuvent passer à côté des versions M135i, véritables bêtes de course de la gamme F20. La première phase, équipée du célèbre moteur N55 six cylindres en ligne, a déjà une belle réputation pour sa fiabilité relative et sa puissance généreuse, avec un timing parfait entre performances et plaisir au volant. Néanmoins, une vigilance s’impose sur l’état du turbo, particulièrement si le bolide a pris la route sans ménagement – un turbo mal refroidi peut vite devenir une source de dépenses.

Vient ensuite la phase 2, incarnée par la M140i avec son moteur B58, qualifié par beaucoup de connaisseurs comme le cœur mécanique le plus robuste et performant de la gamme. Surnommé le « 2JZ allemand », ce moteur est réputé pour sa capacité à encaisser de fortes puissances tout en restant fiable, même après une reprogrammation. Sans conteste, la M140i est un modèle à privilégier pour ceux qui recherchent une sportive compacte alliant dynamisme, fiabilité et polyvalence.

Conseils et vérifications avant l’achat d’une BMW Série 1 F20 d’occasion

Contrôle essentiel et historique d’entretien

Acheter une voiture d’occasion peut parfois ressembler à une chasse au trésor. Avec la BMW Série 1 F20, il faut éviter les mauvaises surprises en faisant preuve d’attention. Avant toute chose, le contrôle mécanique est capital. Ne vous contentez pas d’un simple coup d’œil rapide : observez les bruits moteur, surtout au démarrage. Un cliquetis ou un claquement peut révéler un souci avec la chaîne de distribution, connue pour être fragile sur certains modèles. Un conseil souvent donné par les professionnels : demandez à démarrer la voiture à froid et écoutez attentivement. Ensuite, l’historique d’entretien est votre meilleur allié. Un carnet complet, avec des factures bien archivées, donne une idée claire de la vie passée du véhicule. Par exemple, un propriétaire régulier chez un concessionnaire BMW montre souvent un entretien sérieux, ce qui est rassurant. Au contraire, un dossier vide ou des entretiens sauvages dans des garages peu fiables augurent parfois de problèmes cachés. Enfin, n’hésitez pas à faire un diagnostic électronique via la prise OBD. Cela permet de détecter des défauts invisibles, comme un turbo fatigué ou des capteurs défectueux. En résumé, patience et rigueur payent toujours.

Pièges à éviter et recommandations

Dans la jungle des occasions, certains modèles méritent une attention toute particulière. Par exemple, évitez les BMW Série 1 F20 fabriquées entre 2011 et 2015 avec les moteurs N13 ou N47 : véhicules réputés pour leurs chaînes de distribution capricieuses et leurs consommations d’huile élevées. Ça peut rapidement coûter une petite fortune en réparations. À ce propos, une anecdote courante chez les mécanos : un propriétaire a vu sa chaîne se détendre avant les 80 000 km, occasionnant un bruit sourd qui l’a mis en alerte juste à temps. Il faut aussi surveiller les fuites d’huile autour du cache-culbuteur ou des joints de queue de soupape, souvent révélatrices de pièces à remplacer. Pour protéger son investissement, mieux vaut privilégier les modèles post-2015, qui bénéficient de moteurs B38, B48 ou B58, beaucoup plus robustes. Une autre recommandation : pensez à un essai routier sur différentes routes, de préférence avec des accélérations afin de tester le turbo et l’agrément de conduite. Enfin, s’adresser à un expert BMW pour une inspection approfondie peut vous sauver d’un mauvais choix. Après tout, une voiture n’est pas qu’un coup de cœur visuel, c’est aussi un compagnon fiable sur la route.

Analyse de la fiabilité générale et défauts récurrents

La BMW Série 1 F20, malgré son charme indéniable et son style premium, n’est pas sans zones d’ombre côté fiabilité. C’est un peu comme lorsqu’on achète une montre de luxe : l’esthétique séduit au premier regard, mais la mécanique interne peut réserver des surprises. Cette génération, produite entre 2011 et 2019, séduit surtout par sa propulsion arrière et son dynamisme, mais certains moteurs, notamment ceux de la première phase, ont montré une tendance à accumuler les pannes fréquentes.

Le point crucial réside souvent dans la chaîne de distribution, qui, pour plusieurs versions, souffre d’une usure prématurée et nécessite un remplacement coûteux. Un propriétaire m’avait raconté que, après seulement 80 000 km, un claquement suspect est apparu au démarrage – un symptôme typique d’une chaîne détendue. Comme pour un violon mal accordé, cela gâche toute la symphonie mécanique.

Outre la chaîne, la consommation d’huile excessive demeure un handicap notable. Certaines voitures avalaient littéralement jusqu’à un litre d’huile tous les 1 000 km, ce qui n’est pas seulement un gouffre financier, mais aussi un signe d’usure importante des segments ou de problèmes de joints. C’est un peu comme avoir un robinet qui fuit en continu, sans jamais pouvoir l’arrêter totalement.

Les turbos, quant à eux, sont sujets à des fissures dans les tuyaux d’admission, provoquant perte de puissance et à des ratés moteur. Cela alourdit l’addition sans prévenir, un peu comme si la baguette magique de la fiabilité devait parfois s’effriter. L’encrassement de l’admission, résultat classique des moteurs à injection directe utilisés surtout en milieu urbain, est un autre point noir qui réduit progressivement la vigueur dynamique.

ComposantProblèmes récurrentsConséquences
Chaîne de distributionUsure prématurée, bruits au démarrageRemplacement coûteux, risqué moteur
Consommation d’huileFuites, joints et segments usésSurveillance constante, coûts additionnels
TurboTuyaux fissurés, perte de pressionPerte de puissance, ratés moteur
AdmissionEncrassement par calamineBaisse des performances, entretien nécessaire

Au-delà de la mécanique, l’entretien joue un rôle central pour limiter ces déconvenues. Trop souvent, les propriétaires oublient les vidanges intermédiaires recommandées et privilégient des intervalles longs, ce qui fragilise le moteur. En vérité, une Série 1 F20 demandera une attention particulière à la fréquence des entretiens, surtout sur les motorisations essence de première génération.

Il faut donc voir cette compacte allemande un peu comme un athlète de haut niveau : capable de performances remarquables, mais exigeant un suivi rigoureux et une préparation sérieuse sous peine de voir son potentiel entamé prématurément. Ainsi, connaître les points faibles typiques permet de s’armer d’arguments solides et d’éviter les mauvaises surprises, notamment sur les modèles les plus anciens.

Foire aux questions autour des modèles à éviter et problèmes mécaniques

La BMW Série 1 F20 est une voiture qui séduit par son allure sportive et son dynamisme, mais elle n’est pas exempte de défauts, notamment sur certains modèles qu’il vaut mieux éviter. Vous avez sûrement entendu parler des moteurs qui lâchent ou de pièces coûteuses à réparer. Pas de panique ! Ici, nous démêlons le vrai du faux, en répondant aux questions les plus fréquentes sur les versions à fuir et les soucis mécaniques récurrents. Que vous soyez passionné ou simple curieux, ce guide vous éclaire pour faire un choix malin et éviter les mauvaises surprises.

Par exemple, vous savez sûrement que certains moteurs essence des premières années (2011-2015) ont la réputation d’être de véritables “bombes à retardement”. Cela vient surtout de la chaîne de distribution qui s’use vite ou des turbos fragiles. Imaginez avoir un moteur qui vous réclame de l’huile tous les 1000 km : ce n’est pas de la science-fiction, mais une réalité pour certains propriétaires. De même, du côté des diesels, la chaîne est souvent placée dans une zone compliquée à accéder, ce qui peut plomber votre budget en cas de casse.

Dans ce contexte, mieux vaut être renseigné avant d’investir dans un modèle d’occasion. Pour éviter les pièges, il convient de privilégier les versions post-2015, retouchées et fiabilisées, qui ont corrigé beaucoup de ces défauts techniques. Il est aussi conseillé de toujours vérifier l’historique d’entretien et de rester attentif à tout bruit suspect, dès la mise en route. Un bruit de chaîne ou une fuite d’huile sont des signaux d’alerte à ne pas négliger.

Choisir sa BMW Série 1 F20 avec soin, surtout en évitant les motorisations N13 et N47 produites avant 2015, est crucial pour éviter des coûteuses déconvenues mécaniques. Optez plutôt pour les modèles restylés avec moteurs B38, B48 ou B58 qui offrent bien plus de fiabilité et de sérénité au quotidien. Avant tout achat, n’hésitez pas à faire vérifier l’historique d’entretien et à réaliser un diagnostic complet : votre investissement en dépend. Gardez à l’esprit qu’un peu de vigilance vous permettra non seulement d’économiser sur le long terme, mais aussi de profiter pleinement du plaisir de conduite que cette compacte premium est capable d’offrir. Voilà une voiture qui mérite bien une attention éclairée pour rouler sans souci !

Kevin

Writer & Blogger

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